Le nombre de personnes qui se retrouvent du jour au lendemain sans autonomie, par accident, de naissance, vieillesse, ou autres facteurs aggravants, est important et ne cesse d’augmenter. Plus de 8 millions de personnes sont ainsi amenées à aider un de leurs proches dans l’hexagone. Une aide indispensable certes, mais qui peut être facilité par des assurances spéciales souscrites en amont qui soulagent notamment des considérations financières. Les aides allouées par l’état et la prise en charge des soins médicaux, de l’hospitalisation, du repos en structure d’accueil par la Sécurité sociale ne permettent pas toujours d’évoluer dans un environnement confortable et facilité. Le fait d’avoir souscrit ce type d’assurance prévient et assure une meilleure appréhension des problèmes d’organisation qui suivent le handicap, qu’il soit passager ou définitif.
Que la dépendance soit mentale ou physique, elle est toujours extrêmement douloureuse pour celui qui la vit, mais aussi pour son entourage le plus proche. 80 millions de personnes en sont ainsi affectées en Europe et un milliard sur la planète. Autant dire que le handicap constitue partout un vrai problème de société qui nécessite une écoute et le développement de structures appropriées, mais aussi un certain encadrement administratif et financier. Dans les pays pauvres, ce sont les plus démunis qui souffrent de dépendance, mais cette notion est également largement présente en occident. Selon le degré d’atteinte, la personne qui en souffre peut continuer une vie quasiment normale, si elle a pu procéder à quelques aménagements personnels qui lui offrent un meilleur confort de vie. Appareillage, installation, mise aux normes de la maison, rente mensuelle, frais d’hospitalisation, les montants assignés à la prise en charge d’une personne dépendante sont souvent prohibitifs et constituent pour certains un frein à une meilleure qualité de vie. C’est pourquoi dans nos sociétés de consommation, il est particulièrement judicieux de se prémunir des risques, et d’envisager le pire, de prendre les devants pour ne pas être confronté à d’autres soucis que ceux qui handicapent déjà le quotidien.
Prendre en compte ces chiffres alarmants et se dire que cela n’arrive pas qu’aux autres permet aussi de relativiser par la plus grande prévoyance, évitant des désagréments à ses proches et à soi-même. Cette perte d’autonomie n’interviendra pas forcément, mais si elle se présentait vous y seriez préparé au mieux pour ne pas sombrer, en plus, dans un engrenage de dépenses auquel vous ne pourrez faire face. Un sujet sérieux qu’il faut examiner de près !